Notre hypothèse est que notre programme de serrage hautement dynamique, qui fonctionne avec une vitesse d'outil très élevée, est plus ergonomique que les programmes conventionnels. Grâce à son mode balistique, une grande partie de la force de réaction est absorbée par l'outil lui-même, et non par l'opérateur. Cependant, bien que la force soit réduite, le mouvement de l'outil reste saccadé. Le défi consiste à comprendre quels niveaux de ces expositions sont susceptibles d'augmenter le risque de troubles musculosquelettiques. Il s'agit de trouver le juste équilibre.

Oui ! Un jeudi après-midi maussade de novembre 2020, avec probablement assez de caféine dans le sang pour propulser une petite voiture, j'ai découvert un moyen d'expliquer quantitativement ce que nous ne pouvions auparavant qu'observer et décrire subjectivement. Je dirais qu'il s'agit là, dans ce contexte, d'une nouvelle façon de mesurer l'inconfort.